La reprise du blog… Tatata !!

J’ai ouvert ce blog en 2019 et il est resté lettre morte plusieurs mois. Alors c’est reparti pour un tour ! L’idée est toujours la même, partager mes lectures (et ainsi m’en souvenir) principalement mais aussi peut-être des séries, des films…

En bonus une photo de mes vacances.

Pour janvier 2022 et début février, voici quelques-unes de mes pépites :

  • Le sang de la Cité – Capitale du Sud, tome 1 de Guillaume Chamanadjian  . Une vraie claque, superbe lecture. J’ai mis du temps à entrer dans le livre car l’univers décrit est un peu déroutant mais une fois que c’est parti, c’est parfait ! Du suspens, de l’action, une plongée dans un autre monde, tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment. Vivement le tome 2 ! https://www.babelio.com/livres/Chamanadjian-Capitale-du-sud-tome-1–Le-Sang-de-la-cite/1312158
  • Les strates de Pénélope Bagieu. J’adore mais vraiment j’adore Pénélope Bagieu ! Je n’ai pas été déçue comme d’habitude. C’est drôle, c’est émouvant, c’est bien dessiné… Juste un merveilleux moment. Mention spéciale sur la partie sur son chat qui m’a rappelé un de mes chats qui est parti l’année dernière. https://www.babelio.com/livres/Bagieu-Les-Strates/1360853
  • Les filles mortes ne sont pas aussi jolies d’Elisabeth Little. Une belle découverte ! J’ai ouvert le livre sans trop y croire en me demandant vraiment pourquoi je l’avais pris, et en fait il est très bien ! Un policier sans policier, la découverte du métier de monteuse au cinéma, des références savoureuses au monde cinématographique. Et c’est drôle ! En tous les cas ça me fait rire. Un court extrait, il y a souvent des blagues sur les métiers du cinéma : « Quelle est la dernière chose que Jésus a dite aux chauffeurs ? J’en sais rien, quoi ? Ne faites rien jusqu’à ce que je revienne. »https://www.babelio.com/livres/Little-Les-filles-mortes-ne-sont-pas-aussi-jolies/1244095
  • Incurables et Le marchand de sable de Lars Kepler. Lars Kepler, le couple suédois, réussi quasiment toujours son coup ! Petite déception pour Désaxé mais c’est sûrement parce que j’ai enchainé le marchand de sable et celui-ci. Une pause entre les deux m’aurait sans doute permis de mieux apprécier ce policier.https://www.babelio.com/livres/Kepler-Incurables/466962 et https://www.babelio.com/livres/Kepler-Le-Marchand-de-sable/655112
  • Darktown de Thomas Mullen. Je l’ai terminé en début d’année, j’ai moins de souvenir. J’ai en tête un roman sombre, très bien construit que j’ai pris plaisir à lire. https://www.babelio.com/livres/Mullen-Darktown/1061422

Une dernière lecture très chouette mais qui a pu me décevoir un peu :

  • Désaxé de Lars Kepler. Comme indiqué juste au-dessus, ce policier se dévore quand même mais il est préférable de faire une pause entre deux !

Séries à voir (selon moi) :

  • The girl from Oslo : une courte série inspirée d’une histoire vraie. On frémit, on pleure, très bonne série.
  • La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre. Tout le monde en parle sans doute mais cette série parodie tous les codes et se regarde en un rien de temps. Et puis quel plaisir de retrouver l’interprète de Veronica Mars !
  • The white lotus. Attention série complètement barrée ! On monte en pression d’épisode en épisode et cette série est franchement géniale !
  • Shadow and Bone – La saga Grisha. Une teen série qui se regarde vraiment bien. Il est vrai que je suis bon public pour ce type de proposition mais n’hésitez pas si ce genre vous plait elle est loin d’être gnangnan. Bon maintenant j’attends la suite avec impatience.

Et pour finir un film que j’ai adoré : Dune de Denis Villeneuve ! Juste déçue de ne pas l’avoir vu au cinéma car je pense que la claque devait être plus intense mais vraiment quel film ! J’avais eu des retours assez mitigés, certains préfèrent l’adaptation de David Lynch, d’autres l’ont trouvé trop long… Je n’ai pas vu le film de David Lynch, donc pas de comparaison possible, et je n’ai pas vu passer le film. Bref, allez-y !

Leurs enfants après eux de Nicolas Mathieu

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Au départ j’ai beaucoup apprécié ce roman.

Des phrases courtes, percutantes dans lesquelles on ressent la chaleur, la lassitude ou pour certains et certaines la colère sourde de jeunes et de leur famille qui semblent tous au prise avec un destin qu’ils n’ont pas choisi.

C’est parfois drôle, parfois dur, souvent dur. Pour le côté drôle, Stéphanie est en prise avec la philo : « Dans sa filière, toutes les matières comptaient, même la philo. La République de Platon, sérieux ? Mais qui étaient les instigateurs de ces programmes lunaires ? Dans un pays ravagé par le chômage, le socialisme et la concurrence asiatique, on attendait donc des jeunes générations qu’elles s’intéressent à cette enculage de mouches antique ? »

La chaleur colle à la peau comme la tristesse avec en prime cette rage de s’en sortir mais qui est la plupart du temps vaine. Ce livre nous fait traverser quelques décennies, quatre étés et chaque grand chapitre commence par un titre de chanson qui passe par le célèbre Smells like teen spirit, à du Guns n’roses en passant par La fièvre. On suit donc l’évolution des plusieurs ados et en particulier celui d’Anthony. C’est aussi l’histoire d’une vallée où le chômage est omniprésent.

Extrait du livre, Hacine, un des protagonistes, est à la mairie et est en rendez-vous avec une jeune femme pour essayer de dégoter un boulot. Morceau choisi : « Après sa licence, la jeune femme s’était spécialisée en droit du travail, cursus qui se prévalait de taux d’employabilité dignes des années 1960. […] Du coup elle avait tendance à considérer le chômage comme l’une de ces menaces abstraites dont il est surtout question au JT, type épidémie de paludisme, tsunamis, éruptions volcaniques. »

Mais j’avoue avoir lâché au trois quart du livre… Je me suis lassée et le changement de point ne m’a vraiment convaincu voire même m’a ennuyé parfois. Je me suis dépêchée de le finir alors même que je l’ai dégusté au départ, en cornant plusieurs pages que je souhaitais reprendre dans ce billet. Autre extrait « L’éducation est un grand mot, on peut le mettre dans des livres et des circulaires. En réalité, tout le monde fait ce qu’il peut.« .

Cet exemple de bêtise crasse aussi m’a interpellé, Patrick travaille et sa tenue de travail comprend le port d’une casquette. Qu’il ne met pas. « […] ce couvre-chef mou, corporate, rouge, et prétendument réglable est devenu sa limite. […] Or un superviseur chargé de la qualité l’avait surpris plusieurs fois tête nue sur un chantier. C’est comme ça que les problèmes avaient commencé. Vous n’avez pas lu la note de service, monsieur Casati ? Patrick avait répliqué que ça ne l’aiderait pas à faire son quota et que de toute façon, personne de ne le voyait. Le superviseur avait dû forcer le ton. Il y avait des règles. Les respecter toutes n’était certes pas possible, on n’était pas des nazis. N’empêche, certaines engageaient l’image de la boîte. C’était considérable. ».

C’est dommage, cela aurait pu être un coup de cœur mais j’en sors avec un avis mitigé. Reste que c’est très bien écrit, que l’histoire est à découvrir et qu’il ne s’agit que de mon avis !

Reprise d’une partie de la quatrième de couverture :

Août 1992. Une vallée perdue quelque part dans l’Est, des hauts-fourneaux qui ne brûlent plus, un lac, un après-midi de canicule. Anthony a quatorze ans, et avec son cousin, pour tuer l’ennui, il décide de voler un canoë et d’aller voir ce qui se passe l’autre côté, sur la fameuse plage des culs-nus. Au bout ce sera pour Anthony le premier amour, le premier été, celui qui décide de toute la suite. Ce sera le drame de la vie qui commence. »

Quand mon envie de me remettre à l’anglais rencontre un superbe livre … The curious incident of the dog in the night-time de Mark Haddon

Je suis ravie d’avoir pu découvrir ce roman que je n’aurais sans doute pas lu si je n’avais pas eu envie de lire un peu en anglais. Il est dans ma bibliothèque depuis longtemps (très longtemps) et je l’ai commencé plusieurs fois en trouvant toujours une bonne excuse pour ne pas aller au bout. Erreur réparée, et quel livre !

J’ai adoré de bout en bout. J’ai même réussi à le raconter quasiment en entier (j’en étais au trois quart du livre) étant complètement passionnée. Bon par contre j’ai un peu gâché la fin à cette personne je ne vais donc pas reproduire la même chose ici, promis.

Ce livre est drôle, touchant et on suit avec tendresse, à travers le regard du narrateur, l’histoire de Christopher. Car oui au fait, de quoi ça parle ?

Christopher vit avec son père. Il a 15 ans et sa mère est décédée d’un cancer il y a peu. Au début du roman Christopher se met en tête d’écrire un roman policier car il a découvert dans le jardin le chien de la voisine transpercé d’une fourche ! Cette découverte l’a d’ailleurs conduit à atterrir au commissariat car il a frappé l’agent de police qui intervenait, celui-ci l’ayant touché. Précision, Christopher est autiste Asperger. Cet épisode lui donne envie d’élucider le meurtre de Wellington (le chien), d’autant plus qu’il aime les chiens car « il est toujours possible de savoir ce qu’un chien pense ». Il va donc partir à l’aventure car entrer en relation avec les autres est complexe pour lui.

Ce roman est drôle, triste aussi par beaucoup d’aspects et je trouve que l’on est véritablement plongé dans la tête de Christopher. Par ailleurs, Christopher est fan de maths et si je n’ai pas tout compris, certaines analyses sont savoureuses ! Comme celle où il évoque la constellation d’Orion qui s’appelle ainsi car elle ressemblerait à un chasseur avec son arc. Mais pour lui cette référence est idiote car il est possible de faire rejoindre les points que constituent les étoiles comme on le souhaite et si on relie différemment ces points, apparaît alors… un dinosaure !

En bref, je recommande chaudement ce livre pour son histoire et aussi car, cadeau bonus, il est très facile d’accès pour celles et ceux qui veulent lire en anglais.20190221_153049

Une colonne de feu de Ken Follett : petite déception…

Bonsoir,

J’ai terminé hier soir le fameux pavé de Ken Follett (qui a quelque peu du mal à faire court je trouve depuis quelques romans), Une colonne de feu, dernier volet de la trilogie Les piliers de la Terre.

Comme indiqué dans le titre je n’ai pas été très convaincue malheureusement.

J’apprécie en général cet écrivain et j’ai dévoré la série Le Siècle même si déjà je commençais à me dire « C’est bien mais 500 pages en moins n’auraient pas nui ! ». Impression plus que confirmée pour le roman la Colonne de feu. Pour couronner le tout, j’ai trouvé le roman long, très long, mais sans pour autant permettre d’avoir plus de profondeur pour les personnages. J’ai le sentiment en fermant ce livre de ne les avoir que survolés (alors que je les ai suivi sur 922 pages c’est dire), même parfois je les ai trouvé caricaturaux et sans évolution au fil des années. En effet, ce roman historique couvre une période assez longue, de 1558 à 1620, pendant la guerre de religion entre les protestants et les catholiques qui a déchirée l’Angleterre et la France.

Mais au fait de quoi ça parle ?

Noël 1558, le jeune Ned Willard rentre à Kingsbridge : le monde qu’il connaissait va changer à tout jamais… Les pierres patinées de la cathédrale dominent une ville déchirée par la haine religieuse et Ned se retrouve dans le camp adverse de celle qu’il voulait épouser (…). L’accession d’Elisabeth 1ère au trône met le feu à toute l’Europe (…). Dans ce demi siècle agité par le fanatisme qui répand la violence depuis Séville jusqu’à Genève, les pires ennemis ne sont cependant pas les religions rivales

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.

J’ai préféré abréger volontairement le résumé du livre qui dévoile un peu trop d’éléments.

Ce qui m’a principalement ennuyé je pense est le fait que j’ai trouvé le personnage de Ned fade et l’histoire a peu suivie mes chouchous, en particulier Barney (le frère de Ned) qui tombe bien vite dans les oubliettes.

Cependant, j’appris pleins de choses, gros point fort du livre et j’ai suivi avec horreur le massacre de la Saint Barthelemy.

Il faut noter que le style de Follett est toujours aussi agréable à lire et à parcourir même si je n’ai pas été transportée.

Bref, en conclusion, tous les ingrédients étaient réunis mais je n’ai pas été convaincue.

A bientôt pour d’autres avis !

Partage d’un chouette livre pour celles et ceux qui aiment coudre : Tout le monde peut coudre !

Aujourd’hui, je voulais vous faire parler de ce livre qui donne pleins de conseils, astuces et propose de jolis projets autour de la couture ! Il s’agit de Tout le monde peut coudre ! de Louise Scheers alias Les lubies de Louise.

J’ai pris ce livre suite à une visite sur le site Zak a dit et sa rubrique coup de cœur. Je recommande d’ailleurs ce site ! Il regorge de conseils, idées de projet et dans des domaines variés : couture, crochet, tricot… Il y en a pour tous les goûts.

Bref, je débute en couture et ce livre est tout à fait adapté. Les indications sont claires et les modèles sont trop choux ! J’ai réalisé le tour de cou (en pilou pilou), la cape de bain bébé, une trousse pour tout ranger, et je vais me lancer prochainement sur la housse de coussin  ou encore la robe d’été !

A vos aiguilles !

#couture

Le fils de Jo Nesbo – Pas convaincue

Première déception de l’année…

J’étais pourtant emballée par ce livre, la quatrième de couverture m’avait fait de l’œil. « Sonny Loftus a passé la moitié de sa vie en prison pour des crimes qu’il n’a pas commis. En échange de doses d’héroïne, il accepte de les endosser. La drogue, c’est pour oublier le suicide de son père, policier corrompu. Un jour, un des prisonniers lui révèle la vérité sur la mort de son père. Cette confession tire Sonny de sa torpeur. » J’ai abrégé quelques parties de la quatrième.

Sonny veut donc se venger et c’est parti pour un tour.

Au début j’étais plutôt satisfaite. Le personnage de Sonny était intriguant, les autres protagonistes intéressants également, en particulier Simon Kefas, un policier proche de la retraite ou encore Arild Franck, le sous-directeur corrompu de la prison. Je me demandais comment Sonny allait se venger… Quelle déception ! Arrivée à un moment je trouve que le livre vire au grotesque. Je ne parvenais plus à croire à cette histoire et me suis donc hâtée de le terminer pour passer à autre chose.

Pour donner tout de même un point positif je n’ai pas tout à fait deviné la fin.  Je testerais peut-être un autre roman de Jo Nesbo (qualifié par le petit papillon sur la couverture comme « Le nouveau Stieg Larsson », mouais…) mais pas tout de suite…

Dirty Sexy Valley – Olivier Bruneau

Dirty Sexy Valley

Attention attention, lecteur sensible s’abstenir !!! Ce livre, Dirty Sexy Valley, envoie du pâté et il ne fait semblant !

Pour donner un ordre d’idée, voici ce qui est indiqué sur la quatrième de couverture :

« – Tu aimes l’horreur ?

– Oui.

– Tu aimes le cul ?

– Oui.

-Si je te dis gode-tronçonneuse ça te fait peur ? »

Et tout le livre est comme ça. A prendre donc au dernier degré, mais on passe un bon moment ! C’est un peu comme un Tarantino, les scènes de bagarres sont exagérées à souhait avec des geysers de sang, des membres qui volent… Et bien là c’est pareil mais avec du sexe et de l’horreur.

Et je vous prie de croire qu’il y a eu 2 scènes, notamment, que j’ai trouvé particulièrement dégueulasses ! Mission accomplie pour Olivier Bruneau ! C’est bien écrit, les ambiances nous mettent dans le bain, on s’y croirait.

Ce livre m’a été conseillé en août par la Librairie la Nuit des Temps, il était indiqué « l’été sera chaud ».

Et sinon, de quoi que ça cause ? Alors, alors… extrait de la quatrième : « Dans la moiteur d’un été torride, six étudiants inséparables décident de célébrer leur diplôme en s’adonnant à une authentique orgie dans une cabane isolée à la montagne. Mais quand ils débarquent sur place, prêts pour la fête de leur vie, ils ignorent que dans la pinède habite une famille dégénérée pour qui la perversion est un art de vivre« . Ca donne envie non ?

Je recommande ce livre, avec toutes les précautions détaillées au début de ce billet , bonne lecture !

#livresurprenant #dirtysexyvalley

Les vieux fourneaux T. 4 La magicienne

J’ai eu le nouveau tome des péripéties des vieux fourneaux à noël dernier. Quel bonheur de retrouver l’humour, les histoires du loup en slip (ça sera un de mes prochain achat) et les compères anars….

Cet épisode est comme toujours ancré dans l’actualité. Ainsi, un projet d’extension de l’entreprise locale est menacé par… une sauterelle ! La fameuse Magicienne du titre. Une ZAD s’installe et le village est en émoi. Sur ce fond narratif, Lupano et Cauuet évoquent les histoires personnelles des protagonistes et on en apprend davantage sur Sophie.

Je dois reconnaître que je n’avais pas trop accroché avec le tome 3, « celui qui part ». Je ne sais pas trop pourquoi mais je n’avais pas complètement retrouvé la drôlerie et le côté fantasque. Pour « la magicienne » par contre je n’ai pas été déçue ! Bien au contraire !

Dès le départ j’ai noté cette réplique qui m’a fait rire, prononcée par Antoine pour rassurer sa petite fille « Te laisse pas confire le citron par la saumure réactionnaire ». Et on n’est qu’à la page 5 ! J’ai passé un très bon moment en compagnie des personnages et j’ai donc hâte que le prochain volet paraisse.

Autre morceau choisi :  » C’est « Guimauve Frombze » cette région ». Je vous laisse deviner à quelle série il est fait allusion…

#vieuxfourneaux #bd

Lecture de janvier – Les lionnes de Venise de Mireille CALMEL

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Ayant lu ce livre sur mon ebook je n’ai pas pu prendre en photo la couverture du livre, d’où cette image récupérée sur le web.

En parcourant ma bibliothèque (je cherchais un livre de Romain Gary, la Vie devant soi) j’ai constaté que j’avais lu plusieurs livres de Mireille Calmel ! Le cycle Aliénor, Lady Pirate, le Chant des sorcières… Il est vrai que j’ai eu ma période romans historiques un peu à l’eau de rose (dans le bon sens hein !).

Alors quelle est l’histoire ? Elle se déroule en 1627 et le personnage principal est Lucia fille d’un imprimeur vénitien. Son père, qui venait de recevoir une commande particulière, une gravure, est enlevé sous ses yeux et le feu est mis à l’imprimerie. Lucia va donc chercher à retrouver son père et à comprendre le mystère qui entoure la gravure.

Je me suis replongée avec plaisir dans le style d’écriture de l’auteure. Tous les ingrédients d’un Calmel y sont : personnages féminins avec du caractère (même si je trouve Lucia un poil trop naïve), amour, aventures et bien sûr de la sorcellerie ! Le livre se lit facilement. Personnellement, je trouve que le style évolue peu. Mieux vaut donc faire des pauses entre chaque roman pour éviter d’avoir l’impression de lire la même chose.

Mais Les lionnes de Venise reste un chouette roman que je conseille, ne serait-ce que pour les descriptions de Venise qui sont superbes. Je lirai le tome 2 prochainement !